Peyton est ma petite amie, enfin normalement. Nous sommes tomber très vite amoureux et nous sommes très vite sortie ensemble. Le problème c'est qu'elle ne me supporte plus et qu'elle commence a se rapprocher un peu trop de mon frère Lucas ...

C'est un peu moi en féminin. Capitaine des pompom girls cette fille est parfaite. Tout comme moi elle est populaire au lycée et tous les garçons bavent sur elle. Elle est aussi la meilleure amie de Peyton et pourtant j'ai des vues sur elle et je pense qu'elle aussi a des vues sur moi. Petit a petit on se rapproche et avec elle je me sent comme un autre homme ... Je pense qu'entre nous deux, tout peut aller très vite.

Haley me donne des cours. Elle est proche de Lucas & Julian et les deux ne sont pas vraiment pour, mais Haley continue toujours à me donner des cours. Je n'ai jamais été méchant avec elle, je la trouve très attachante et j'ai toujours été vrai avec elle. Pour le moment il n'y-a rien entre nous deux mais je la trouve tout de même très jolie.

Alex et moi, on est tombé dans la même classe de terminale cette année. Avec elle je rigole comme avec personne, je fais tout plein de connerie et plus rien ne peut arrêter notre duo lorsqu'on est ensemble. S'amuser et notre mot maître, notre règle d'or. Mais pourtant, quand j'ai besoin d'une véritable amie et bien elle est toujours là. Elle est un peut comme ma meilleure amie.

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

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UC ...

U.C ...

U.C ...

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